FAOYE
Ce matin, au lever du soleil, ce sont des charrettes qui emmènent les concurrentes pour rejoindre la ligne de départ à une vingtaine de minutes de là, face à une zone aride étonnante.
Top départ et au loin, la flamme Sénégazelle indique la direction. La surprise du jour est la traversée des puits de sel. Des femmes, des enfants, travaillent ici, toute la journée, dans des conditions éprouvantes.
Dans la foulée, les concurrentes se rapprochent de la forêt d'eucalyptus qui borde le village de Faoye. Là, elles retrouvent la difficulté des derniers mètres dans le sable. La récompense : un bel accueil à l'école élémentaire où se déroule ensuite la distribution des dotations.
A l'heure du déjeuner, c'est à pied que ces dames sont guidées vers une propriété qui accueille la Sénégazelle depuis des années. L'équipe de l'Ecolodge de Simal a concocté le repas et tout installé pour déjeuner au bord de l'eau. Avant de passer à table, chaque participante va choisir un jeune arbre qu'elle plantera au sein de ces hectares de terre dédié au reboisement. Tout un symbole.